Dans un procès, qui se poursuit toujours, Kamel Chikhi a nié toutes les accusations relatives à l’utilisation de pots-de-vin pour obtenir des … Le 7 mai 2020 est publié l'avant-projet de révision de la Constitution. Conflit d’intérêt entre Abdelmadjid Tebboune et Abdelaziz Djerad ? Khaled Tebboune est accusé de blanchiment d’argent, selon la chaîne de télévision publique A3. Il est décoré du même rang par Abdelkader Bensalah[51]. Dans un contexte régional marqué par la guerre en Libye, l'Algérie retrouve une place sur ce dossier[99]. Par la suite, il est wali d’Adrar (1983-1984)[15], de Tiaret (1984-1989)[16] et de Tizi Ouzou (1989-1991)[17]. Le gouvernement est remanié à la suite de la pandémie de Covid-19 et afin d'endiguer ses conséquences économiques, des titulaires plus techniques sont nommés[81]. La période de confinement se prête à l'acharnement policier et judiciaire. Pourquoi devrions-nous l'accepter ? Ce qui explique les dizaines d'arrestations de personnes connues et inconnues dans toutes les villes d'Algérie. Les détentions et les jugements prouvent encore une fois que le pouvoir judiciaire est totalement inféodé à l'exécutif ». Explications. Il demande à être dispensé du prédicat « excellence » afin de rompre avec l'usage exacerbé de cette formule durant les mandats d'Abdelaziz Bouteflika, terme devenu impopulaire et motif de contestation[49]. Ces derniers n’ont pas hésité à dévoiler des dossiers compromettants le concernant. (Agence Ecofin) - Après plus d’un mois de séjour en Allemagne (le second) pour de nouveaux soins dûs à des “complications liés au Covid-19 ”, le président algérien Abdelmadjid Tebboune est rentré vendredi dans son pays, a annoncé la télévision publique. Deux jours plus tard, le 28 décembre, il nomme Abdelaziz Djerad à la fonction de Premier ministre et le charge de former un nouveau gouvernement[57]. Le référendum sur la révision constitutionnelle se tient le 1er novembre 2020. Cette source affirme tenir l’information de nombreuses personnes de l'entourage immédiat du chef de l'Etat algérien. Dans l'esprit de la Constitution algérienne de 1989, le texte propose également un renforcement des droits et libertés publiques, ainsi que l'abrogation de l'article limitant la participation des binationaux à la vie politique, et qui les exclut des postes de hauts responsables et de diplomates[74]. Le Président algérien, Abdelmadjid Tebboune L’Algérie se préparerait à l’annonce imminente, dans les heures qui viennent d’un important communiqué officiel qui annoncerait le décès du Président algérien suite à son infection par le Covid-19 ». Il est rappelé par le président Abdelaziz Bouteflika en 1999 au poste du ministre de la Communication et de la Culture[19] dans le gouvernement Benbitour, portefeuille qu'il n'occupera que 6 mois, avant qu'il soit rappelé une 2e fois au poste de ministre délégué chargé des Collectivités locales[20] pour le remaniement des walis. Les mêmes sources indiquent que la défunte a rendu l’âme après Algérie Il est incarcéré depuis plusieurs mois pour sa présumée implication dans l’affaire de trafic de cocaïne. La période de confinement se prête à l'acharnement policier et judiciaire. Haut fonctionnaire de carrière, membre du Front de libération nationale (FLN), il est ministre dans plusieurs gouvernements et Premier ministre du 25 mai au 15 août 2017. À l’approche du scrutin, en l'absence d'enquêtes d'opinion, les médias indiquent qu'il a perdu son statut de favori, Azzedine Mihoubi ayant reçu le soutien de nombreux proches du régime[40]. Avec Níkos Déndias, ministre grec des Affaires étrangères (février 2020). Ils ramènent des financements étrangers pour casser des institutions. Il représente le président Abdelaziz Bouteflika dans plusieurs missions à l'étranger (en Iran, en Syrie) après son départ du gouvernement[réf. Nous parlons de souveraineté nationale. Le début de son mandat voit se poursuivre les manifestations massives du Hirak et il doit ensuite gérer la pandémie de Covid-19. Par ailleurs, Bouakkaz et Amrouche sont respectivement nommés directeur général du protocole et secrétaire particulier du président de la République[53]. – Jeune Afrique Le vendredi 20 mars, aucune marche, aucun rassemblement n'est constaté[90]. Le fils de l’ancien Premier ministre a été conduit de la prison d’El Harrach où il est incarcéré pour être auditionné. Le 18 février 2021, alors que quelque 70 personnes sont emprisonnées en lien avec le Hirak ou les libertés individuelles selon le Comité national pour la libération des détenus, Abdelmadjid Tebboune déclare que le Hirak « a sauvé l'Algérie » et annonce qu’il accorde la grâce « à une trentaine de personnes pour lesquelles une décision de justice avait été rendue ainsi qu'à d'autres pour lesquelles aucun verdict n'a été prononcé », soit au total une soixantaine de personnes. © 2020 Observ'Algérie - Observateur d'Algérie et du Maghreb par Assalas Com. He took over the power from former President Abdelaziz Bouteflika and former Acting Head of State Abdelkader Bensalah. Marié à Fatima Zohra Bella[5], il a cinq enfants : Saloua, Maha, Salaheddine Ilyes, Mohamed et Khaled[6]. Son père est un cheikh membre de l'Association des oulémas musulmans algérienset également un militaire. En juillet, le gouvernement avait ainsi adressé une série de mises en demeure à plusieurs grandes entreprises algériennes ou étrangères adjudicataires de gros marchés publics d'infrastructure, menaçant de résilier les contrats pour les chantiers en retard. Il a été placé en détention depuis le déclenchement de l’affaire de la saisie d’importantes quantités de cocaïne au port d’Oran. Grande Mobilisation du hirak pour son premier anniversaire : Plus vigoureux que jamais ! Abdelmadjid Tebboune naît le 17 novembre 1945 à Méchria , dans l'actuelle wilaya de Naâma, en Algérie, alors départements français. Le chef d’Etat a regagné son pays ce vendredi après une deuxième hospitalisation en Allemagne. En octobre 2019, s'ouvre le procès de son fils Khaled, en prison depuis le 20 juin 2018, dans le cadre de l'affaire de la saisie, dans le port d'Oran, de 701 kg de cocaïne[7]. En 2001, le président le nomme ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme[21] au sein du gouvernement Benflis II, une fonction qu’il occupe jusqu'en 2002. Akram Belkaïd estime pour sa part que « c'est le retour à l'ordre de fer, le même qui, dans les années 1970, imposait à toutes les Algériennes et tous les Algériens de la boucler et de filer droit »[94]. Le chef de l’Etat algérien, Abdelmadjid Tebboune, évacué en Allemagne, il y a un peu moins d’un mois, pour y être soigné suite à une atteinte au Coronavirus, serait-il décédé ? Les 21 et 22 février 2020, les manifestations réunissent un très grand nombre de personnes[86],[87]. Abdelmadjid Tebboune commence sa carrière en 1969 comme administrateur stagiaire[10], puis administrateur en 1972[11] dans la wilaya de la Saoura. Abdelmadjid Tebboune a aussi été la cible d’attaques de certains médias qui l’ont encensé au début. Il est ensuite assigné à résidence jusqu'en 2019[3]. Il a été placé en détention depuis le déclenchement de l’affaire de la saisie d’importantes quantités de cocaïne au port d’Oran. Abdelmadjid Tebboune participe à la conférence de Berlin sur la Libye le 19 janvier 2020[106]. À cette époque, il est cité dans l'affaire Khalifa[22]. Ce qui explique les dizaines d'arrestations de personnes connues et inconnues dans toutes les villes d'Algérie. Quels sont les pays développés, les pays démocratiques qui acceptent cela […] ? Il décrète que le 22 février sera désormais fêté tous les ans en tant que « Journée nationale de la fraternité et de la cohésion entre le peuple et son armée pour la démocratie »[85]. »[91]. Il donne ainsi procuration à son épouse pour voter au référendum constitutionnel[115]. Cette audition sonne comme le coup de glas au candidat indépendant Abdelmadjid Tebboune. Décès de la sœur du président de la République, Abdelmadjid Tebboune Selon plusieurs sources médiatiques, madame Azzi Halima, sœur du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, est décédée ce samedi 31 octobre à l’hôpital d’Oran. À l'issue de sa prestation de serment, le nouveau président salue le Hirak et déclare que « la grande réussite est le fruit du mouvement populaire initié par notre peuple qui a refusé, grâce à sa conscience, l'effondrement de l’État et de ses institutions », renouvelle son appel au dialogue et promet de réaliser ses revendications « dans le cadre d'un consensus politique et les lois de la République »[46],[48]. Il semble que le vent a tourné et que l’ex-Premier ministre ne bénéficie plus des faveurs des décideurs. Le 28 décembre 2019, il reçoit Ahmed Benbitour, ancien chef du gouvernement, avec qui il s’entretient au sujet des « bases de la nouvelle République »[58]. Lors de son premier déplacement officiel en Algérie, le 22 décembre, il annonce la création d'un ministère chargé des start-up et de la microentreprise ainsi que d'une banque devant accompagner les porteurs de ces projets. À cette époque, il prend sa carte au Front de libération nationale (FLN)[12]. Candidat indépendant, il reste cependant membre du comité central du FLN[36]. Il quitte le gouvernement en 1992. Et pour cause, dans sa propre famille, le business faisait partie de sa vie quotidienne. Le président tunisien a été victime d’une tentative d’empoisonnement. Le 19 janvier 2017, après la maladie puis la mort de Bakhti Belaïb, il est nommé ministre du Commerce à titre intérimaire[24]. La somme exorbitante, alors que le pays traverse la plus sévère crise économique et financière de son histoire, s'explique par la horde d'accompagnants de Tebboune qui sont à son chevet nuit et jour, les déplacements de son entourage, mais également ses soins médicaux. Ces initiatives liberticides relèvent du même objectif qui est de faire taire les Algériens et de leur signifier que les cinquante-six semaines du Hirak n'étaient qu'une parenthèse »[91]. Le fils de Abdelmadjid Tebboune candidat à la présidentielle du 12 décembre, comparait ce jeudi 5 décembre devant le procureur de la République adjoint prés le tribunal Sidi Mhamed. Abdelmadjid Tebboune (en arabe : عبد المجيد تبون, en berbère : ⵄⴱⴷ ⴰⵍⵎⵊⵉⴷ ⵜⴱⵓⵏ), né le 17 novembre 1945 à Méchria (Algérie), est un homme d'État algérien. Le 3 septembre 2012, il est nommé ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme[23] dans le Gouvernement Sellal I. Il est ensuite nommé ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville dans les gouvernements Sellal II, Sellal III, et Sellal IV. Ces mesures lui valent néanmoins de bénéficier d'une popularité auprès de l'opinion publique[32]. Un nouveau code pénal, permettant de poursuivre des militants, est ainsi adopté durant le confinement[95]. Le principal inculpé, Kamel Chikhi, a quant à lui écopé de 8 ans ferme. », « La pandémie est du pain bénit pour le pouvoir en place qui bénéficie d'une chance insolente. En effet, le fils du candidat aux élections présidentielles du 12 décembre, Abdelmadjid Tebboune, a été auditionné par le juge de Sidi M’Hamed. Le 15 janvier, il reçoit le moudjahid Youcef Khatib[65] et le président de l'Association des oulémas musulmans algériens, Abderrazak Guessoum[66]. Le 20 décembre 2019, il nomme Noureddine Ayadi directeur de cabinet et Mohammed Amine Messaïd secrétaire général de la présidence de la République ; ce dernier avait occupé le poste de directeur de sa campagne électorale. Il est notamment question de l’arrestation de Omar Alilat, présenté comme le principal financeur de sa campagne électorale. En juin 1991, Abdelmadjid Tebboune devient ministre délégué chargé des Collectivités locales auprès du ministre de l'Intérieur, dans le gouvernement Ghozali I[18]. Quels sont les pays développés, les pays démocratiques qui acceptent cela […] ? Algérie : poursuivi pour corruption, le fils du président Abdelmadjid Tebboune acquitté. C’est ce que révèle la presse, qui évoque l’annonce, dans les heures qui viennent, via un communiqué, cette mauvaise nouvelle aux Algériens. Le 18 février 2021, après la tenue de consultations avec six partis en l'absence du FLN et du RND, il annonce la dissolution de l'Assemblée populaire nationale, alors que des élections législatives étaient prévues en 2022, ainsi qu’un deuxième remaniement ministériel dans les 48 heures maximum[83],[84]. Plusieurs ministres quittent le gouvernement qui garde à sa tête le Premier ministre Abdelaziz Djerad. Le prévenu, était poursuivi dans l’affaire « … Parmi ces entreprises figurait notamment ETRHB, une entreprise des travaux routiers, hydrauliques et bâtiments, propriété d'Ali Haddad, chef du Forum des chefs d'entreprises (FCE), organisation patronale, et proche de Saïd Bouteflika, frère du chef de l'État[31]. Le lendemain, le 29 décembre, il nomme Belaïd Mohand Oussaïd ministre conseiller à la Communication, porte-parole de la présidence de la République[58]. Khaled Tebboune est accusé de blanchiment d’argent, selon la chaîne de télévision publique A3. Les membres de la chambre basse du Parlement avaient été élu en 2017, lorsque les alliés d'Abdelaziz Bouteflika, prédécesseur de Abdelmadjid Tebboune, bénéficiaient de la majorité. Peu après le début de son mandat, des lois criminalisant la diffusion de « fausses nouvelles » et les « discours de haine » sont adoptés de manière expéditive. Pourquoi devrions-nous l'accepter ? Lors la cérémonie, il décore de la médaille de l'ordre du Mérite national, au rang « Sadr », Abdelkader Bensalah et Ahmed Gaïd Salah[50]. Skander Salhi - 12:17 - octobre 25, 2020. Le 26 décembre, il préside une réunion du Haut conseil de sécurité, où « la situation dans la région, notamment au niveau des frontières avec la Libye et le Mali » est examinée. Dès le lendemain de son retour d'Allemagne après une longue hospitalisation, le président algérien a entamé une série de consultations avec les partis. Lors de sa première conférence de presse après son élection, Abdelmadjid Tebboune déclare tendre la main au Hirak et prône le dialogue[45]. Ce retrait a été suivi notamment par son comité de soutien ainsi que les directeurs régionaux de sa campagne électorale qui lui ont tourné le dos. Le professeur Abderrahmane Mebtoul estime qu'il a « une lourde responsabilité de rétablir la confiance brisée entre l'État et les citoyens »[47]. Sa mère est une paysanne . Dès le lendemain de son retour d’Allemagne, après une longue hospitalisation, le président algérien a entamé une série de consultations avec les partis. Par ailleurs, le ministre de l'Intérieur Salah Eddine Dahmoune est limogé de ses fonctions alors qu'il avait défrayé la chronique en tenant des propos insultants à l'égard des manifestants du Hirak[52]. Ces derniers sont aussi entendus par le parquet pour les mêmes motifs que Khaled Tebbounne. Le magnat de l’immobilier Kamel Chikhi dit «El-Boucher» a pris, aujourd’hui, la défense du fils du président, Abdelmadjid Tebboune. Abdelmadjid Tebboune reçoit plusieurs chef d'États et ministres des Affaires étrangères de pays impliqués dans la crise[100],[101],[102],[103],[104],[105]. Le résultat est validé par le Conseil constitutionnel, et le décret d'application de la nouvelle Constitution est signé par Abdelmadjid Tebboune le 30 décembre 2020[82]. Le 7 mai 2020, il décrète le 8 mai « journée de la mémoire » des massacres de Sétif, Guelma et Kherrata de 1945[108]. Le président Abdelmadjid Tebboune est de retour en Algérie. nécessaire]. Tebboune Khaled est le fils du président Abdelmadjid Tebboune. Abdelmadjid Tebboune a chopé le coronavirus à cause de son fils Khaled. Amnesty International estime qu’au moment « où tous les regards, au niveau national et international, scrutent la gestion de la pandémie de Covid-19, les autorités algériennes consacrent du temps à accélérer les poursuites et les procès contre des militants, des journalistes et des partisans du mouvement du Hirak ». À l’issue de ces deux mois, la proposition de la commission doit faire l'objet d'un dialogue puis être adoptée par le Parlement et soumise à référendum[70]. Ces initiatives liberticides relèvent du même objectif qui est de faire taire les Algériens et de leur signifier que les cinquante-six semaines du Hirak n'étaient qu'une parenthèse », « Il y a 8 000 journalistes et, pour trois ou quatre d'entre eux qui ne font pas partie de la presse nationale mais de la presse étrangère, financée par l'étranger, il y a eu tout un boucan autour d'atteintes à la liberté de la presse. Les autorités algériennes annoncent en octobre 2020 qu’Abdelmadjid Tebboune est infecté par la Covid-19[112]. Le 13 janvier, il reçoit l'ancien chef du gouvernement Mouloud Hamrouche et se rend chez l'ancien ministre des Affaires étrangères Ahmed Taleb Ibrahimi[62]. Le fils de l’ancien Premier ministre a été conduit de la prison d’El Harrach où il est incarcéré pour être auditionné. Enfin, l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) est constitutionnalisée, le tiers présidentiel du Conseil de la nation supprimé et la possibilité de légiférer par ordonnance durant les vacances parlementaires abrogée[73]. Les chiffres sont par ailleurs jugés « douteux » par des analystes[43]. Poursuite du Hirak et question des libertés, « faire le point au sujet des marchés publics », « harcèlement contre les hommes d'affaires », « une lourde responsabilité de rétablir la confiance brisée entre l'État et les citoyens », « même si le scrutin n'est pas falsifié, les Algériens n'ont plus confiance », « la grande réussite est le fruit du mouvement populaire initié par notre peuple qui a refusé, grâce à sa conscience, l'effondrement de l’État et de ses institutions », « dans le cadre d'un consensus politique et les lois de la République », « la situation dans la région, notamment au niveau des frontières avec la Libye et le Mali », « pour échanger et écouter son appréciation de la situation actuelle et sa vision de l’avenir », « responsable devant l'Assemblée, qui pourrait le renverser par une, « ce mouvement populaire a épargné au pays une catastrophe », « Journée nationale de la fraternité et de la cohésion entre le peuple et son armée pour la démocratie », « l’interdiction des marches et des rassemblements, quels que soient leurs motifs », « une mesure de protection de la santé publique », « où tous les regards, au niveau national et international, scrutent la gestion de la pandémie de Covid-19, les autorités algériennes consacrent du temps à accélérer les poursuites et les procès contre des militants, des journalistes et des partisans du mouvement du Hirak », « Des journalistes et des militants pour la démocratie sont enfermés sous des motifs aussi divers et variés alors qu'en réalité, c'est juste l'expression d'opinions pacifiques qui leur vaut châtiment.

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